Message aux représentant de l'AIGCR (Terminus, FCC, FdC)

Année 4336 :

Un message en provenance de la République d’Orion est envoyé aux dignitaires responsable de l’AIGCR (Autorité Internationale de Gestion des Camps de Réfugiés). Si cette dernière n’était pas encore connue, il semblerait cependant qu’elle ait déjà sut se procurer les moyens de communications nécessaires à l’entrée en contact avec d’autres peuples de la Galaxie à l’heure actuelle. Sur l’hologramme qu’ils reçurent apparut une jeune femme, aux premiers abords elle devait avoir la trentaine, blonde, dans une tenue bleu et blanche.

[E. Snively] Chers représentants de l’AIGCR, membre du Terminus, de la Federal Colony of Camaròn et de la Fédération du Commerce, bonjour.
Tout d’abord laissez-moi me présenter, je suis Eléanor Snively, Shogun de la République d’Orion, en d’autres termes, le chef d’Etat de cette petite colonie installée il y a 16 ans de cela. Vous ne la connaissez sans doute pas, mais nous, nous vous connaissons de part les différents éléments que nous avons put capter depuis notre installations, notamment des enregistrements du Sommet de Mindloir auquel nous n’avons put participer il y a plusieurs décennies de cela : les trajets hyperspatiaux ayant sans doute altéré notre capacité à émettre et à recevoir des informations, nous n’étions simplement pas au courant de son déroulement.
A l’heure actuelle, nous ne souhaitons pas rejoindre à proprement parlé l’AIGCR mais nous aimerions collaborer avec. A l’heure actuelle notre colonie est relativement prospère et apte à accueillir plusieurs réfugiés en son sein, de plus, nous disposons de réserves de vivres et de nourritures et de grains que nous avons accumulés depuis plusieurs années en apprenant ce qui se déroulait à l’extérieur de notre petite enclave en sachant ce qu’il risquait d’advenir, ainsi que plusieurs autres éléments utiles.
Mais plutôt que de poursuivre les débats de manière indirecte et si impersonnelle à ce sujet, je vous propose de venir en discuter sur Drya, notre monde, d’ici 2 mois. En gage de bonne volonté de ma part, voici les coordonnés qui vous seront nécessaires pour nous rejoindre.

A ce moment là un transfert de données eut lieu entre cette petite république inconnu et les sommités de l’AIGCR, de son coté, Mme. Snively attendait patiemment une réponse de ses interlocuteurs, de préférence positive.

Debra Lokos se situer sur Nouvelle Reena I dans l'immeuble administration de la Fédération du Commerce a feuilleté les comptes de cette dernière, sa situation n'était pas désespérée mais pas non plus florissante. Bien que les réserves étaient encore plus ou moins conséquentes. Lorsqu'il voyait que de nombreuses nations de New Eden c'était endettée, il ne regrettait pas que la Fédération du Commerce possédait encore quelques fonds en réserve. Debra venait de finir son verre de whisky quand un homme vint l'interrompre lui annonçant une communication en provenance de la ceinture d'orion. Debra alla en direction de la salle des communications et ordonna d'ouvrir les communications. Une jeune femme, plutôt "sublime" l'invitait à se rendre sur la colonie de la République d'Orion, il fronça les sourcils puis déclara :

[D. Lokos] Mes salutations madame,
La Fédération du Commerce représentée par le vice roi Yao Ming, Centaurien (réunion dfamille) et détenteur du poste sera présente à votre réunion. La navette de personnelle du vice roi Ming prendra la route de votre réunion d'ici quelques jours.
Nous espérons que votre réunion sera couronnée de succès. Au revoir.

Debra coupa la communication et fit signe à un homme d'appeler Ming pour lui faire un récapitulatif.

Debra venait tout juste de quitter la pièce que l'on l'informa d'un nouveau message, dans un soupir il tourna les talons et retourna en salle des communications, un homme se tenait là, il ne s'identifia même pas, ne dit même pas qui il était, il fit directement un discours en pronant sa supériorité sur la Fédération, pitoyable, cet homme voulait lui voler sa tâche ? Il insultait ouvertement la Fédération du Commerce et Hoersch Kessel Drive dans son discours. Bouarf, un mec sans importance, ça pouvait être un simple homme qui voulait faire une farce ou un pirate voulant gagner de l'argent. Debra préféré ignorer le message.

Un nouveau message fut adresser de la part de la Shogun aux divers dirigeant de l’AIGCR.

[E. Snively] Messieurs, je me vois honorée que vous ayez acceptez mon offre. Je m’en vais de ce pas organisé les préparatifs afin que tout soit prêt dans deux mois. Néanmoins, si je puis me permettre de faire une remarque, si nous tenons à accélérer les choses, il pourrait être bon que au moins l’un d’entre vous amène avec lui quelques vaisseaux de transports : nous parlons de vies humaines et tant qu’à y être, autant gagner autant de temps que possible quand à l’acheminement des diverses denrées que je pourrais vous fournir.
Sur ce messieurs je vous laisse et vous dit à dans deux mois.
Bien cordialement, Eléanor Snively, Shogun de la République d’Orion.

Sur ses dernier mot, elle tira une révérence polie avant que l’hologramme ne se coupe.

Debra envoya une courte réponse :

[D. Lokos] La Septième Flottille de Fret de la Fédération du Commerce prend la route dès maintenant madame.

Alors qu'il dînait, l'on l'informa qu'un nouveau message avait été envoyé, même origine apparemment et cette fois ci il s'identifia, eh bien dit donc, il lui en avait fallut du temps, Debra se leva de table puis alla dans la salle des communications avant d'envoyer une réponse :

[D. Lokos] Aucun problème, mais veuillez comprendre que nous ne pouvions répondre à un message douteux.
Néanmoins, ce contrat à été confié à Hoersch Kessel Drive et nous ne pouvons vous le céder pour la simple et bonne raison que nous avons sur l'honneur promis d'accomplir cette tâche. Cette tâche nous a été confié pour cinquante années, veuillez comprendre que nous ne pouvons pas la "refourguer" à quelqu'un d'autres.
Quand à l'envoi de production industrielle c'est avec plaisir, cela aidera considérablement Hoersch Kessel Drive dans ses productions de vaisseaux pour l'AIGCR.

Après cela, il s'assit dans son fauteuil et attendit une réponse. La Fédération commençait déjà à quadriller le secteur d'ou prevenait ce message afin d'être sûr qu'il ne venait pas d'un lieu peu sûr.

Debra Lokos envoya une courte réponse :

[D. Lokos] Nos coordonnées sont joints à ce message. Certes, mais refourguer était une façon un peu moins diplomatique de parvenir à la même conclusion. Merci pour votre aide.