Centre Scientifique de Dinyol-hei

A présent que la colonie est établie comme il se doit, le gouvernement demande à la population de se pencher plus en détails sur les quatre bâtiments découverts. Il apparait en effet que les technologies découvertes à l'intérieur pourraient grandement aider à la prospérité de la Fédération Culturelle. Si la mission requiert des investissement supplémentaires (outre les 500 crédits d'exploration, et les 1000 crédits de colonisation déjà dépensés), n'hésitez pas à le faire savoir.

Citation :

Les équipes de scientifiques et d'ingénieurs étaient avant tout intéressés par l'environnement de ces ruines, et entre autre par le fait qu'à l'intérieur du champ de force, alors que nous sommes en plein pôle nord, les températures aient été si agréables et la faune et la flore si variée. Ils se sont donc dirigés vers la tour centrale que les senseurs indiquaient comme recelant d'importantes sources d’énergie.

A l'intérieur, ils ont trouvé que la tour était totalement vide ! Un escalier circulaire permettait de monter jusqu'au sommet, tandis qu'un pilier d’énergie remontait depuis un gouffre sans fond pour alimenter le bouclier qui entoure la ville. Les ingénieurs sont donc descendus dans le gouffre, dans lequel ils ont trouvé un vaste complexe informatique, globalement complètement fichu et irrécupérable. Ils ont néanmoins poursuivit leur descente, jusqu'à tomber sur une sphère d'acier, suspendu en l'air par quatre imposantes poutrelles d'acier trempé. Là, ils ont installé un campement ou l'étude de la sphère a commencé. Une étude approfondie a révélé qu'il s'agissait d'un générateur de stase, qui maintenait en fait l'espace de la ville dans une sorte de stase quantique spécifique, ralentissant les processus d'érosion et les dommages de l'air et du temps aux structures de la cité. En somme, un moyen de la faire perdurer des millions d'années, comme un témoignage du passé. Les applications pratiques de cette découverte sont gigantesques.

L'étude poussée des sous-sols de la planète, par des scans (car le gouffre semble se poursuivre indéfiniment), révèle que le gouffre se poursuit jusqu'au manteau planétaire, 30 kilomètres plus bas. Il se nourrit ainsi de l’énergie géothermique pour fonctionner. Le dispositif géothermique n'a pas put être atteint, faute d'équipements adéquat. Des fonds supplémentaires devront être alloués dans ce but (nouvel investissement de 500 crédits).

La raison pour laquelle les fondateurs de cette cité ont souhaité la faire perdurer par delà les âges reste cependant totalement inconnue.

Découvertes : +0,1 point de technique scientifique.

On fit étalage de ces découvertes à travers l'ensemble de la Fédération Culturelle. Il était important de mettre en lumière les points forts de la Nation et ainsi d'améliorer le patriotisme naissant. Les spots de communication alternaient mise en valeur de nos fiers mineurs et prouesses scientifiques de la colonie de Dinyol-hei.

Cependant, il était encore trop tôt pour s'arrêter là. Aussi, le gouvernement investit 500 crédits dans de nouveaux équipements permettant à la mission scientifique de continuer. On fit appel notamment aux ingénieurs de la station sous-marine d'Azad, qui étaient, de part leur métier, habitués aux explorations en profondeur. Après tout, ils avaient bien réussi à bâtir leur domicile à plus de 20km sous le niveau de la mer.

On souhaitait surtout que les colonies collaborent entre elles le plus souvent possible. Créer des liens persistant permettraient de favoriser la création d'une culture unique et fédératrice. Masaq débloquait les fonds, Oméga I et Oméga 2 fournissaient les matières premières, Azad construisait les outils, Oméga 3 y ajoutait l'énergie... tout cela permettant aux scientifiques de Dinyol-hei de poursuivre leur travail. Tout le monde participait à cet effort collectif, tout le monde pouvait se sentir utile.

Citation :

Les équipes d'exploration ont poursuivit la descente le long du puit jusqu'à atteindre une impressionnante installation géothermique vingt deux kilomètres plus bas. La pression est ici très élevée et les installations laissés par nos prédécesseurs sont donc extraordinairement solides. La centrale géothermique utilise, du reste, un fonctionnement extrêmement classique. Il s'agit d'une imposante turbine qui s'enfonce dans une véritable rivière de magma en fusion. A l'intérieur de la turbine se trouve un alternateur que l'on fait tourner à l'aide d'eau, injectée à une pression royalement énorme (en partie obtenue grâce à la pression naturelle à cette profondeur) transformée en vapeur par la chaleur du magma.

Ces énormes turbines, au nombre de huit, sont faites d'un alliage inconnu, et chacune d'entre elle compte douze alternateurs. Le fonctionnement du générateur est permis par cette source d'énergie illimitée : il faudrait éteindre la planète pour couper le courant !

Nos ingénieurs n'ont, hélas, pas put étudier les alliages de l'Alternateur et des turbines : il aurait, pour cela, fallut les désactiver, et il est impossible de savoir si les parties étudiées et prélevées sur ces installations n'auraient pas put provoquer la destruction du générateur, et donc, de l'écosystème de la cité, voire de toute la colonie.

Du reste, les alternateurs produisent une quantité d’énergie égale à celle de deux centrales à fusion. Ce qui voudrait dire qu'il faudrait connecter deux de ces centrales pour faire fonctionner le générateur tout en coupant les turbines géothermiques (2 000 Crédits). En tout cas, cette installation est là depuis 32 Millions d'années, et fonctionne toujours. C'est proprement saisissant.

Conséquences : Aucunes (Découvertes inexploitables)

Les dernières décisions du Sénat impliquèrent la création de deux centrales à fusion dans les ruines de la Colonie Scientifique. Ainsi, ces centrales furent reliées au générateur afin de faire fonctionner le dispositif. On pouvait à présent arrêter les turbines et l'alternateur sans risques, et ainsi en commencer l'étude. Le but était bien entendu là encore d'améliorer nos techniques scientifiques, et de, pourquoi pas, parvenir à dupliquer un tel système.

Quoiqu'il en soit, les meilleurs scientifiques et ingénieurs de la nation se penchèrent sur le sujet. Il fallait préserver l'intégrité des alternateurs et des turbines à tout prix. Il était hors de question de les détruire. Procéder ainsi promettait de rallonger le temps d'étude de plusieurs mois, voir années. Mais cette technologie était trop importante pour se précipiter. Il fallait faire les choses bien...

Citation :

Les travaux d'acheminement, d'installation, et de préparation des générateurs de fusion nucléaire ont duré sept année. Néanmoins, une fois branchés au générateur de bouclier, celui-ci s'est brièvement étendu au double de sa circonférence actuelle, jusqu'à ce que les génératrices à géothermie soit coupées. Ce qui laisse entendre que de sérieuses facilités sur la terraformation pourraient être obtenues par ce biais.

On a ensuite entreprit le démontage des génératrice et leur remontée à la surface pour que des études plus approfondies puissent être conduites. Pour l'instant, elles sont stockées à l'air libre à proximité de la grande tour, sur ce qui semble être une ancienne place de parade de cette civilisation alienne. Les chercheurs réclament de sérieux investissements pour l'ouverture de centres de recherche et de centres d'études d'ingénierie au sujet de ces génératrices.

Conséquences : Découverte d'un processus simple pour éventuellement terraformer la planète plus tard : l'agrandissement du champ d'action de ce générateur. Les coûts de terraformation seront réduits de 10% grâce à cette découverte.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Les investissements furent rapidement débloqués par le gouvernement, car il fallait bien l'admettre : ces génératrices pouvaient potentiellement donner une inépuisable source d'énergie aux monde de la Fédération Culturelle. Le Sénat autorisa donc la création d'un centre de recherche, mais aussi d'un centre d'étude d'ingénierie à l'intérieur des ruines.

Les deux bâtiments étaient neufs et relativement bien équipés au vu de la situation. La mission première des deux centres consistait à comprendre le fonctionnement des génératrices, et surtout d'en développer des copies. S'il était possible d'installer un système similaire sur Masaq et Azad, alors la Fédération Culturelle pourrait accélérer son développement de plusieurs dizaines d'années ! Sans oublier que ce genre de système semblait pouvoir fonctionner durant des millénaires, et ce, sans le moindre déchet...

Citation :

Les recherches continuent dans les centres de recherche. En attendant la suite des opérations, les équipes de scientifique ont décidé de changer la cible de leurs découvertes, et, considérant que la grande tour est désormais entièrement exploitée, ils ont lancé l'exploration de la pyramide.

La progression s'est néanmoins immédiatement heurté à un os, puisque l'entrée de la pyramide se constitue d'un mur de métal épais de cinquante centimètre, et que l'on ouvre avec un clavier à code, visiblement toujours fonctionnel. Une énigme y est proposée.

La seule chose que les ordinateurs ont put retranscrire sont les nombres. Il semble qu'un énoncé soit également proposé, mais la langue est incompréhensible ...

2/2/2/2

+ - / * =

0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 10, 12

[Tu as le droit à un indice. Mais c'est mieux de chercher ^^. Le fait d'utiliser l'indice amoindrira le bonus de la pyramide.]

Citation :

Une fois l'enigme de la porte passée, l'exploration de la pyramide a put débuté. A première vue il s'agissait d'un ancien grand centre administratif qui dominait l'ensemble de la ville. Peut-être le centre de direction des affaires de la cité. Les membres de l'équipe ont donc procédé à une collecte de données et à l'étude attentive des documents informatiques qui ont put être trouvés dans un ordinateur encore en ruine au fond de la Pyramide.

Jusqu'à présent, rien d'intéressant d'un point de vue historique, n'a put être découvert. En effet, la langue des aliens reste un mystère des plus total. En revanche, le centre de recherche de Dyniol-Hei a trouvé d'importantes variables mathématiques intéressantes qui justifient une nouvelle étude de la programmation de nos ordinateurs. Ces dernières ont été intégrés à nos savoirs faire économiques.

L'étude du dédale de la pyramide se poursuit.

Conséquences : Tech Scientifique : +0,1. Tech Economique : +0,05.